Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 08:28

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Voici un court récit d’une expérience partagée avec ma meilleure amie Mathilde. Alors que nous ne nous y attendions absolument pas, un petit jeu entre nous nous a entraînées beaucoup plus loin que prévu...

Faire semblant d’être lesbiennes a toujours été comme un jeu entre Mathilde et moi. Il nous arrive, pour jouer, de faire semblant de nous embrasser. Nous rapprochons nos lèvres sans qu’elles se touchent pour autant en nous donnant des surnoms affectifs. Ou alors, nous nous tenons la main en public pour faire croire que nous sommes lesbiennes, c’est très amusant.

 

 

 

Cette soirée-là, Mathilde était venue dormir à la maison. Elle portait un petit short de sport moulant et court, et un T-shirt. Nous étions assises sur deux fauteuils dans ma chambre. Il était temps d’aller se coucher, et Mathilde s’est levée. En me levant à mon tour, j’ai affiché un sourire faussement excité et, à genoux, j’ai posé mes mains sur ses fesses et ai fait semblant d’approcher mon visage de son petit short. Là, je mimais les va-et-vient qu’aurait faits une lesbienne léchant le sexe d’une autre. Mathilde souriait en faisant semblant d’apprécier et de prendre du plaisir. Au gré des va-et-vient, mes lèvres ont légèrement effleuré son sexe à travers son short. De son côté, il semblait qu’elle avançait un peu comme pour appuyer un peu plus le contact contre mes lèvres, tout en simulant le plaisir. À cet instant, dans ma tête, c’était toujours un jeu, et je faisais semblant d’agripper son short au niveau de ses fesses pour le faire descendre. Mais lorsque le contact est devenu plus fort, je me suis rendu compte que je ne savais plus très bien si nous jouions encore. Je sentais en moi une excitation bien réelle, et j’étais surprise de constater que ce qui n’avait jamais été plus qu’un jeu entre nous était par inadvertance en train de devenir plus sérieux. Toutefois, je continuais à exagérer mes gestes, de peur de montrer que je me prenais un peu trop au jeu. De son côté, Mathilde continuait à exagérer son plaisir, mais je me demandais si une part de ses gémissements n’étaient pas réels…

Voyant qu’elle n’était pas choquée et qu’elle croyait toujours à un jeu, j’ai décidé de descendre un peu son short pour toucher ses fesses. Une part de moi voulait savoir jusqu’où elle irait. Mais en descendant un peu son short derrière, il est descendu un peu devant aussi, et lorsque je suis remontée le long de son entrejambe, j’ai vu les courts poils du bas de son ventre. Cette fois tout devenait réel, et je sentais vraiment l’excitation monter ; je sentais mon sexe se mouiller et j’en étais assez honteuse. À cet instant j’aurais voulu arrêter, mais au fond de moi, tout me poussait à continuer. Je suis remontée plus haut, jusqu’à passer mes lèvres sur les petits poils découverts. En levant les yeux, j’ai vu que Mathilde, qui depuis le début fermait les yeux pour feindre une excitation incontrôlable, avait désormais les yeux ouverts et me regardait. Ses gémissements se faisaient moins forts, et il semblait qu’il ne subsistait plus que ceux qu’elle ne feignait pas. Son regard semblait étonné, il était évident qu’elle ne s’attendait pas plus que moi à ce qu’il se passait. Mais ses yeux semblaient aussi me demander de continuer. Mes mains qui jouaient avec son short derrière l’ont descendu un peu plus et au bout d’un court instant, il est descendu un peu devant aussi. Subitement, j’ai vu apparaître la naissance de son sexe. Mes lèvres effleuraient son short dans ce même mouvement de va-et-vient et, en montant un peu plus, mon nez puis mes lèvres ont caressé le haut de son sexe. J’ai senti à cet instant que mon nez, mes lèvres étaient humides. Humides de sa cyprine. Dès lors, il était indéniable que nous ne jouions plus. Elle a laissé échapper un gémissement qui n’avait plus rien d’une simulation. Au fond de moi, je me demandais toujours comment nous avions pu en arriver là, mais à cet instant rien n’aurait pu m’arrêter.

J’ai descendu encore un peu plus son short et, en remontant avec mes lèvres, j’ai réellement senti mon visage contre son sexe. J’étais toute mouillée désormais, et je prenais un plaisir fou à glisser contre son sexe. Lorsque j’ai passé mes lèvres sur son clitoris que je sentais tout excité, sa respiration s’est encore accélérée et Mathilde semblait se retenir de ne pas crier, probablement parce que mes parents dormaient dans la chambre du dessous, et ma sœur dans celle d’à côté. À ce moment, je me souviens m’être demandé ce que je faisais, m’être dit j’étais folle. Mais j’étais trop excitée par ce que je faisais, et surtout par le plaisir que Mathilde semblait en retirer. Tout son sexe était découvert désormais, et c’est à ce moment que, jugeant que je ne pouvais pas revenir en arrière, j’ai décidé de la caresser avec ma langue. Les ondulations de son bassin m’indiquaient qu’elle prenait de plus en plus de plaisir et j’ai vraiment cru qu’elle allait jouir tout de suite quand j’ai pris son clitoris entre mes lèvres pour le sucer. À cet instant, Mathilde a porté les mains à ses seins. Mais je voulais être la seule à lui donner du plaisir, et j’ai introduit une de mes mains dons son T-shirt jusqu’à ses seins. Elle a tout de suite enlevé les siennes et j’ai placé ma main sur un de ses seins. L’idée de sentir tout son sein dans ma main m’a énormément excitée et je sentais mon vagin brûler d’excitation au bas de mon ventre. J’ai finalement mis mes deux mains sur ses seins et j’ai augmenté la cadence de mes va-et-vient le long de son sexe. En quelques minutes elle a joui sous mes caresses.

 

L’instant qui a suivi a été d’une grande maladresse. Mathilde était toute retournée, le short descendu à mi-cuisses. Elle a remonté son short et j’ai bredouillé qu’il valait mieux que nous nous couchions. J’ai éteint la lumière, je me suis couchée et j’ai fermé les yeux pour éviter que nous en parlions. Quelques minutes plus tard, j’ai senti la main de Mathilde m’écarter les jambes et se poser sur mon sexe. Elle m’a enlevé ma culotte et, sans un mot, a enfoui son visage dans mon sexe tout mouillé. J’avais tellement été excitée par ce que j’avais fait à Mathilde que j’ai joui très rapidement sous les caresses de sa langue. Lorsqu’elle a eu fini, elle est venue se coucher derrière moi et a passé une main sous mon T-shirt. Elle a posé sa main sur mon sein et nous nous sommes endormies.

Par forcebrute - Publié dans : Caresses feminine
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